Troubles musculosquelettiques (TMS)
Les TMS sont des maladies qui touchent les articulations, les muscles et les tendons.
Tendinopathie, syndrome du canal carpien au poignet, épicondylite au coude, hygroma du genou en sont quelques exemples.
Ils s'expriment par de la douleur mais aussi par de la raideur, de la maladresse ou une perte de force. Quelle que soit leur localisation, les TMS peuvent devenir irréversibles et entraîner un handicap durable.
Afin que ces maladies ne deviennent pas chroniques, elles doivent être diagnostiquées et prises en charge précocement.
Tendinopathie, syndrome du canal carpien au poignet, épicondylite au coude, hygroma du genou en sont quelques exemples.
Ils s'expriment par de la douleur mais aussi par de la raideur, de la maladresse ou une perte de force. Quelle que soit leur localisation, les TMS peuvent devenir irréversibles et entraîner un handicap durable.
Afin que ces maladies ne deviennent pas chroniques, elles doivent être diagnostiquées et prises en charge précocement.
Le travail sur écran se caractérise par une posture statique maintenue pendant de longues périodes, constituant ainsi un risque de survenue de TMS. Le travail répétitif effectué par les doigts, que ce soit pour la frappe au clavier ou pour les clics avec la souris, est une autre caractéristique de cette activité.Les douleurs cervicales peuvent être dues au port de verres progressifs qui entrainent l’extension du cou pour améliorer la visibilité de l’écran à travers la partie basse des verres correcteurs, à des documents posés à plat sur la table qui entrainent une flexion/extension répétée du cou pour visualiser alternativement écran et documents, à un écran placé trop haut ou trop bas par rapport aux yeux. L’écran est souvent trop haut lorsque le moniteur est posé sur une unité centrale. Il est souvent trop bas lorsque le salarié utilise un micro-ordinateur portable. Des documents papier placés entre le clavier et le salarié sollicitent les épaules lors de la frappe car le clavier et la souris sont alors éloignés du salarié.
CM+ vous propose des accessoires de bureau visant à améliorer votre environnement de travail: repose poignet, supports de documents, support d'écran etc...
Pour le bas du dos, les douleurs surviennent lorsque le dos est trop rond ou trop redressé.
La façon d’utiliser le clavier et la souris exerce aussi une influence sur la survenue de TMS. Ainsi, un appui continuel du poignet pendant la frappe ou une souris éloignée du salarié constituent des situations à risque de TMS des membres supérieurs. Une utilisation du clavier sans jamais d'appui sollicite les épaules.
Le contenu de la tâche peut aussi avoir une influence sur la survenue de TMS. Par exemple, les douleurs cervicales sont plus répandues chez les salariés effectuant des tâches monotones que chez ceux qui ont des tâches plus variées. De même, une intense concentration peut provoquer une tension musculaire, source de TMS.
Le stress ainsi qu’une perception négative du contexte de travail favorisent l’apparition des TMS. Un des liens les plus forts entre stress et TMS s’exerce par le biais du tonus musculaire. Ainsi, lorsque l’on est stressé, on est plus contracté que d’ordinaire. En conséquence, les muscles ne peuvent pas se relâcher complètement au repos. De même, le stress favorise la réduction de la vascularisation périphérique et peut ainsi retarder les processus de réparation des micro-lésions tendineuses, musculaires…
Nous vous invitons à venir tester en magasin nos nombreux modèles de fauteuils et sièges ergonomiques de bureau !
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Le contenu de la tâche peut aussi avoir une influence sur la survenue de TMS. Par exemple, les douleurs cervicales sont plus répandues chez les salariés effectuant des tâches monotones que chez ceux qui ont des tâches plus variées. De même, une intense concentration peut provoquer une tension musculaire, source de TMS.
Le stress ainsi qu’une perception négative du contexte de travail favorisent l’apparition des TMS. Un des liens les plus forts entre stress et TMS s’exerce par le biais du tonus musculaire. Ainsi, lorsque l’on est stressé, on est plus contracté que d’ordinaire. En conséquence, les muscles ne peuvent pas se relâcher complètement au repos. De même, le stress favorise la réduction de la vascularisation périphérique et peut ainsi retarder les processus de réparation des micro-lésions tendineuses, musculaires…
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En ce qui concerne la posture, il faut éviter particulièrement :
- l'extension répétée et / ou prolongée du cou
- le travail au-dessus du niveau des épaules
- les positions extrêmes du poignet en extension ou en flexion
- le maintien d'une même posture plus de 4 secondes
- les prises d'objet au-delà de la zone d'atteinte de confort
Rendre son poste de travail plus confortable :
Avec le développement du travail informatisé, nous sommes de plus en plus souvent et longtemps dans une position figée et statique : main sur le clavier, yeux rivés sur l’écran. Ajoutez à cela d'éventuels sources de stress, nous nous trouvons potentiellement dans un contexte inconfortable, pouvant entraîner démotivation, inefficacité, fatigue, absentéisme...
L’utilisation de mobilier adapté et d’un espace de travail bien agencé devient prépondérant pour minimiser cet inconfort et s’assurer de la fonctionnalité du poste de travail et de la préservation de la santé, et de la sécurité de l’utilisateur. Il permet d’éviter les dysfonctionnements connus comme : • un plan de travail trop haut ; • une commande trop éloignée entraînant l’adoption d’une posture déséquilibrée • une poignée de commande d’un siège mince et étroite qui empêche la prise à pleine main. • une force à exercer trop importante pour l’ouverture d’un tiroir… |
Exemples de solutions de prévention
- Courber l'outil plutôt que le poignet.
- Choisir les machines les moins vibrantes possibles.
- Réduire l'effort en améliorant la conception et en utilisant des aides techniques.
- Ralentir la cadence et réduire les manutentions lourdes.
- Aménager les postes de travail en s'appuyant sur les normes.
- Alterner les tâches, à condition que le salarié ne refasse pas les mêmes gestes d'un poste à l'autre.
- Mettre à disposition des équipements de protection individuelle permettant de répartir les forces de pression sur le genou et d'amortir le contact avec un sol dur.
- Favoriser l'entraide, donner des marges de manœuvre aux salariés.
- Diminuer les facteurs de stress, favoriser les pauses collectives pour encourager les temps d’échanges, éviter le travail en situation d’isolement géographique ou social.
- Reconnaitre et valoriser les compétences et l’expérience.
- Améliorer la maintenance pour prévenir pannes et dysfonctionnements.